Jardin'enVie - Artisan Semencier

Tous les articles présentés ci-dessous, vous permettent d'en savoir plus sur Jardin'enVie et Humuscité. Vous engagez à nos côtés c'est faire le choix d'une société qui décide de s'appuyer sur les semences libres de droits et reproductibles pour construire notre avenir. Ainsi au quotidien avoir accès à une alimentation saine et savoureuse pour tous, des champs vivants, des eaux non polluées, un air plus respirable.

Création de filières alimentaires « de la semence à l’assiette »

Pour Jardin’enVie, l’artisan semencier doit être en interaction étroite avec tous les acteurs de notre avenir alimentaire pour produire les semences de demain. Par notre organisation et notre choix de proposer aussi des plants et des légumes, nous permettons aux jardiniers, épiciers, traiteurs, restaurateurs, familles de (re)mettre les variétés paysannes au cœur de leurs pratiques. Notre ambition est de développer cette dynamique en Auvergne-Rhône-Alpes puis dans d’autres régions. Avec le Réseau Semences Paysannes, nous proposons un cadre réglementaire qui autorise le retour des variétés paysannes dans tous les secteurs d’activité.

Depuis 2007, Jardin’enVie œuvre à la sauvegarde des terres agricoles en milieu péri-urbain dans l’agglomération de Valence-Romans. En 2020, elle a créé avec des clients la coopérative SCIC-HumusCité pour doter les habitants du territoire d’un nouveau levier d’action : une ferme de 10 ha a déjà été acquise pour produire plus de semences, plants et légumes. A partir des bâtiments agricoles, notre projet est de créer des ateliers partagés pour transformer, conditionner, livrer... et ainsi développer l’usage des variétés paysannes au sein de filières alimentaires. Outre la création d’emplois locaux pérennes, le but est de rapprocher les lieux de décision de ceux qui travaillent et/ou consomment.

Notre grande connaissances des semences, plants et légumes issus de variétés paysannes nous permet d'accompagner tous ceux qui veulent les utiliser. Pour en tirer tout le potentiel, il faut souvent remettre en question ses pratiques, adapter son outil de travail.

Avec la création de HumusCité, nous avons franchi une nouvelle étape pour construire les outils partagés dont nous aurons besoin pour pour résoudre les problèmes logisitiques est financiers qui font qu'aujourd'hui il est très difficile de s'approvisionner en variétés paysannes. Metro, promocash est consorts une solution tout en un, qui correspond aux contraintes actuelles des professionels de l'alimentaire. Manque de temps, manque d'espace, coût des fonds de commerce... nous voulons rompre l'isolement, renouveler les savoir-faire, renouer avec l'esprit de l'artisanat.

Il s'agit de construire des outils partagés qui vont permettre de répondre aux besoins d'une agglomération à partir de productions diversifées et de volumes modestes eu égard aux jauges des outils industriels d'aujourd'hui. Ils pourront être utilisés aussi bien par des paysans que par des épiciers, restaurateurs, trasnformateurs... Les rencontres métiers permettent à chacun de progresser au contacts des contraintes des autres, puis d'anticiper les besoins, d'organiser la logisitique.

Faciliter la transmisions d'entrerprise : ne pas repartir de zéro à chaque fois. L'outil de travail peut se bonifier avec le temps. Eviter que les capitaux de départ ne soient essentiellement mangés par le foncier, le rachat d'un fond de commerce, de l'outil de travail. Permettre la transmission des savoir-faires. Il faut 10 ans pour former un bon maraîcher, 10 de plus pour un bon artisan semencier.

Faciliter les interactions entre les différents métiers nécessaires à la relocalisation d'une filière, à une démarche continu de progrès pour apprendre comment faire face aux boulversements à l'oeuvre du fait de l'ativité humaine.

La main aide à concevoir. Le cerveau guide le geste. Davantage que tout autre aspect, c'est ce qui pour nous détermine la notion d'artisanat, la notion de métier. Réunir en une même unité de lieu iou de décision fabrication et conception permet de revaloriser les métiers. Depuis quelques décennies, ils sont en quelques sorte numérisés en tâches. La GMS a fait disparaître le commerçant, remplacé par un metteur en rayon, un caissier. Le boulanger façonne et cuite des mélanges tout prêts. Comme nombre des restaurateurs, il se contente souvent de cuire des produits finis congelés. La maraîcher ne proudit plus de semences, mais il sème aussi de moins en moins. Il élève des plants selon un package technique vendu avec ou via le plant. Si bien, que pour faire il n'y pas plus besoin de réfléchir De plus en plus segmentées, décomposées en actions simples, les tâhes peuvent de plus en plus être confiés à des robots. Réduire la pénibilité du travail est un progrès. Déshumaniser les résultat d'un process de fabrication est une terrible regression. Perdre le sens de ce que nous faisons incite à baisser la garde sur la manière de faire. Or tous nos choix, ou absence de choix, font société. Ghandi isait l'arber est dans la gaine, comme la fin est dans les moyens.

Comment cuire ? Comment conserver ? Comment stocker ? Faut-il éplucher ? Autant de geste simple qui ne se font pas e la même manière entre une HF1 et une variété paysanne.

Plus hydrater la pâte à pain, réduire la quatité de farine, etc... Autant

Qaultié plutôt que quantité.

Rémunération du travail, transparence des marges

Notre vision

Co-évolution
Humains,
Lieux de culture
Plantes.

Avancées et perspectives

Les chefs qui travaillent nos légumes nous disent qu’ils n’en ont jamais vu d’aussi belle qualité.

Modèle économique

La filière amont des Semences Paysannes et plants issus de Variétés Paysannes en pleine croissance...